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ANALYSE

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Des prophéties perpétuelles aux centuries tronquées

par Jacques Halbronn

“avec labeur merveilleux faict trois ou quatre cens carmes de diverses tenebrositez”
(A. Couillard, Les Prophéties, 1556)

    C’est sur la base de ce passage des Prophéties d’Antoine Couillard, seigneur du Pavillon, parues en 1556, que R. Benazra1 entend démontrer que sont bien parues dès 1555 les 353 premiers quatrains des Centuries, chez Macé Bonhomme.

   Or, le type de carmes dont il est ici question est fourni dans la Quarte Partie du Livre des Prophéties du dit Couillard, au folio F recto verso et G recto :

Les ans du monde seront
En nombre admirable

La main de Dieu sera armée
Pour humilier le superbe

Etc.

   Il est caractéristique des banalités propres aux Vaticinations Perpétuelles. A la suite de ces échantillons, au fol. G I verso, on lit :

   “Je diray bien en general que mortz de Princes, changemens & mutations de regnes, pluyes, gresles, neiges, glaces (...) et par le contraire continuation des regnes etc ne cesseront tant que le monde durera etc”

Prophéties de Couillard (fol. F4v)    Prophéties de Couillard (fol. Gv)

Folios F4v et Gv des Prophéties de Couillard

   Couillard, ce faisant, se place dans la ligne de la satire d’un François Rabelais et de sa Pantagruéline Pronostication, parue dans les années 1530.

Pantagrueline Pronostication

Pantagrueline Pronostication de Rabelais

   “Je puis encore dire & asseurer par (...) puissance vaticinatrice (...) qu’en ce monde inférieur (...) Régneront autant de gens de biens & semblablement de méschans etc”
(Couillard, Prophéties, folio G1 verso)

   C’est là en effet le langage de telles Prophéties et notamment ce terme de “Princes” qui revient dans les Prophéties Perpétuelles :

Mort subite d’un grand Prince

Naissance d’un Grand Prince

Grande guerre entre plusieurs princes

Mariage d’un grand Prince
La paix entre les Princes Chrétiens

Un grand Prince montera sur le trône.

   Il est probable que Michel de Nostredame ait tourné de tels présages sous une forme versifiée mais probablement pas avec plus de deux versets, sous la forme que nous propose Couillard lui-même.

   Les quatrains des Centuries sont d’un tout autre style et sont bien éloignés de la banalité des “carmes” des prophétie perpétuelles.2

   Dans ma thèse d’Etat, nous montrons que - à partir de 1568, les imitateurs de Michel de Nostredame, publièrent des Vaticinations Perpétuelles, ce qui montre que l’on attribuait ce genre à Michel de Nostredame.3 D’ailleurs, on connaît un petit volume ainsi intitulé : Pronostication perpétuelle, recueillie de plusieurs autheurs, par Maistre Michel Nostradamus etc, Paris, Jean Bonfons, c. 1547, BNF, ouvrage qui d’ailleurs ne comporte pas de listes d’années mais qui n’en témoigne pas moins d’une certaine inspiration.

Edition Jean Bonfons

Pronostication perpétuelle (Paris, Jean Bonfons)

   Un cas remarquable est le suivant, dès 1568, deux ans après sa mort4 : Prédictions pour vingt ans (...) Extraictes de divers aucteurs trouvée en la Bibliothèque de nostre defunct dernier décédé Maistre Michel de nostre Dame etc Par Mi. De Nostradamus le Ieune, Rouen, P. Brenouzer5

   Il s’agit là d’un cycle de 28 “nombres solaires” assignées à des années et comportant tant des Prédictions générales, de type agricole, que des Prédictions particulières, de type politique. Lisons en le mode d’emploi. Chaque nombre est lié à neuf années mais on peut multiplier à volonté ces combinaisons.

   “Quand ce Livre de Prophéties sera fini, mon lecteur recommencera de nouveau (...) Et il trouvera que mes prédictions générales et climatériques pour ce qui regarde l’abondance et la disette des bleds et des vins dureront jusqu’à la fin du monde etc”6

   Quant à Volguine (1904 - 1976), il reliait ces Prophéties Perpétuelles carrément à Michel de Nostredame et notamment à son tombeau.7

   D’ailleurs, en 1866, le libraire Delarue, publiera les Centuries accompagnées des Prophéties Perpétuelles et du Recueil des Révélations et Prophéties tant anciennes que modernes, qui avait été associé aux Centuries au début du XVIIe siècle par les libraires troyens, Pierre Du Ruau et Pierre Chevillot.

   Il ne fait certes nul doute qu’une épître à César ait paru dont on dispose de plusieurs témoignages et citations mais celle-ci annonçait, dans sa version initiale, non point des quatrains mais des prophéties perpétuelles, correspondant à des années bien précises. Michel de Nostredame, y trouvait là le prolongement logique de ses almanachs également datés et il n’a, selon nous, jamais envisagé de publier des séries de quatrains situés en dehors d’un cadre chronologique bien défini.

   Le fait de mentionner le 4e millénaire dans la Préface à César, telle que nous en parle Couillard, est typique des Prophéties Perpétuelles qui peuvent être prolongées indéfiniment. On trouve en effet l’an 3797 : “& sont perpétuelles vaticinations pour d’icy à l’année 3797” (p. 33 du reprint Chomarat). On peut se demander si ce n’est pas là le fait d’une erreur et s’il ne faudrait pas lire 1997. On notera que dans certaines éditions, on peut lire 3767.

   Or, dans les Prophéties Perpétuelles de Moult (1740), qui commencent en 1269, et qui sont divisées en trois livres, le dernier livre s’ouvre sur une série de 9 années réparties, à 28 ans d’intervalle, entre 1773 et 1997 et il n’est pas exclus que Michel de Nostredame ait cru que 1997 était le terme ultime du dispositif alors qu’en réalité, il ne s’agissait que du terme du premier nombre solaire.

   Il est possible, cependant, que la mention par Couillard de trois à quatre cent carmes ait donné l’idée à des faussaires de concevoir une série de 300 quatrains, selon un procédé astucieux consistant à s’appuyer sur des textes se référant à Michel de Nostredame en produisant autre chose que ce qui était au départ envisagé.

   Cela dit, la reconstitution entreprise par R. Benazra de la Préface à César est tout à fait utile même si, dans certains cas, et ce à partir de témoignages croisés d’autres auteurs, tout comme l’est celle qui pourrait être entreprise à partir de celui d’Antoine Crespin, en ce qui concerne les quatrains accompagnant la dite Préface dans sa version remaniée encore que l’on ne sache pas à coup sûr si les trois premières Centuries parues avant 1572, selon le témoignage de Crespin dans les Prophéties dédiées à la Puissance Divine & à la Nation Française, comportaient une préface remaniée à César de Nostredame ou si celle-ci fut ajoutée ultérieurement.

   Cette reconstitution permet notamment, dans certains cas, de repérer les changements intervenus, sous forme notamment d’interpolations, entre cette première version et la version suivante.

   Rappelons à toutes fins utiles que l’idée de joindre des quatrains aux mois de l’année se retrouve dans le Kalendrier des Bergers8 et notons les allusions de Couillard à ce type d’ouvrages destinés aux agriculteurs :

   “Et ainsi de telles autres prophéties que j’ay apprises au Calendrier des Bergers & en la pronostication des laboureurs” (fol E II recto)

   Il conviendrait d’ailleurs de se demander si les auteurs cités par Benazra n’ont pas repris bien plus que ce que celui-ci a relevé en procédant à une comparaison avec la Préface à César telle qu’elle figure en tête des premières Centuries. En effet, si l’on admet que la Préface a été remaniée, elle a pu également avoir été expurgée de ce qui se référait trop explicitement au genre pastoral, y compris dans certains cas de tel ou tel “carme”. Pour notre part, nous pensons que c’est bien plus d’un tiers du contenu de la dite Préface à César qui aurait ainsi été recueillie et dès lors les témoignages ainsi apportées se révéleraient des témoignages à charge contre les faussaires.

   Il serait, d’ailleurs, étonnant que Couillard n’eût reproduit aucun de ces fameux carmes, pendant qu’il y était et force est de constater qu’aucun verset des premières Centuries ne s’y trouve, sous une forme ou sous une autre - hormis quelque passage figurant à la fois dans la Préface et dans tel quatrain - ce qui n’est guère concluant : ce qui est quand même un comble, pour un ouvrage qui s’intéresse aux Prophéties et qui en porte le titre. En revanche, dans l’hypothèse d’une littérature agricole perpétuelle, les recoupements ne manquent pas et d’ailleurs, on peut se demander si le terme “carme” (que l’on retrouve dans Carmen) ne signifiait pas au fond oracle, et n’impliquait pas un certain caractère lapidaire, fort éloigné de celui de quatrains non datés et au mode d’emploi fort obscur.

   Car dans le cas des Centuries, telles qu’elle nous sont parvenues, l’obscurité ne tient pas seulement au texte mais au fait - à la différence des quatrains mensuels des almanachs annuels - que l’on ne soit pas en mesure de les relier avec une année précise, quand bien même les oracles reviendraient cycliquement, à intervalles réguliers, selon un certain mouvement perpétuel qui, tout perpétuel qu’il était, s’articulait rigoureusement sur la succession d’années bien définies sur le plan chronologique.

   On peut comprendre qu’un faiseur d’almanachs ait pu être attiré par un tel procédé. En tout état de cause, quand bien même Michel de Nostredame eut recouru à des quatrains pour illustrer ses Prophéties Perpétuelles, celles-ci auraient comporté la mention d’années et ne se seraient pas présenté sous la forme achronique que nous leur connaissons dans l’édition Macé Bonhomme datée de 1555. Il n’est pas impossible que l’annonce, dans les Prophéties Perpétuelles de Michel de Nostredame, de la “Mort d’un Prince” pour l’année 1559, qui vit la fin d’Henri II, ait fait la réputation de notre auteur bien plus que le décryptage d’un quatrain non daté et fort approximatif - les deux protagonistes n’avaient en réalité que quelques années de différence - et perdu dans la masse.

   Avouons que le débat entre nous et certains nostradamologues devient parfois un dialogue de sourds et comme on dit, il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Au lieu de considérer l’ensemble du dossier, on se précipite parfois sur un point que l’on ne prend pas la peine de situer par rapport à l’ensemble des données disponibles. C’est ainsi qu’il semble quand même assez évident que si Couillard ne mentionne pas de quatrains, dans ses Prophéties, c’est bien que carme ne signifie pas ici quatrain. Quand Michel de Nostredame dit, dans sa Préface à César, qu’il a pu vérifier de longue date, son système prédictionnel, cela prend tout son sens s’il s’agit de “prophéties après un an”, c’est-à-dire non point d’almanachs annuels mais d’un ouvrage fournissant des oracles année par année et sur une longue période de temps. On peut même penser que Michel de Nostredame a pu accumuler des corrélations entre le dit système et certains événements du passé, ce qui en ferait en vérité un historien, non point se contentant de relater des événements sans référence à un quelconque cadre mais dès lors qu’il situe ceux-ci par rapport à une liste d’années associées à des oracles à connotation politique. On imagine assez bien Michel de Nostredame confrontant sa liste d’oracles avec une certaine chronologie astro-historique.9 Certes, le contenu astronomique d’un tel système est assez médiocre mais pas plus que le système trithémien, il dispense d’une véritable connaissance du ciel et relève au fond d’une astronomie fictive. En définitive, on ne peut exclure que certains quatrains ne soient à replacer, en effet, dans un tel contexte méthodologique et n’appartiennent au commentaire auquel il est fait allusion dans la Préface à César. Pour vérifier pleinement cette hypothèse, il conviendrait de relier un certain système de prophéties perpétuelles avec des quatrains clairement datés historiquement et de s’assurer que ceux-ci sont reliés aux “carmes”, c’est-à-dire “collent” avec les oracles de l’année concernée ; en ce sens, les quatrains seraient un commentaire versifié de ces carmes et non les carmes eux-mêmes.10

   Si l’on prend par exemple l’année 1525, dans les Prophéties Perpétuelles de Moult, on peut lire “Un roi fait prisonnier”. Or cette année est celle de Pavie, où François Ier fut capturé par les troupes de Charles Quint. Le jeu semble consister à mettre en équation des événements historiques et de considérer que les mêmes événements se reproduiront, peu ou prou, quand le type d’année correspondant reviendra, par exemple au bout de 28 ans ou d’un multiple de 28. En remontant 28 ans en arrière, on pourrait donc savoir ce qui est susceptible de se passer. Rappelons que 28 ans coïncide grosso modo avec une révolution de Saturne, ce qui signifie que l’astronomie qui sous-tend un tel système n’est pas nécessairement fictive.

   Enfin, faut-il rappeler que si dans les diverses éditions rouennaises et parisiennes des années 1588 -158911, ainsi que dans l’édition non datée Pierre Ménier, “portier de la porte saint Victor”, et vraisemblablement plus tardive (c. 1598), on trouve la mention “Prophéties de M. Nostradamus, adioustées outre les précédentes impressions. Centurie quarte” et que suivent les quatrains faisant suite au quatrain LIII, le quatrain LIV n’étant pas numéroté, mais les quatrains suivants allant de LV à C, cela mérite tout de même réflexion et cela doit au moins être mentionné dans toute étude sur ce sujet.

   Un récent voyage à Londres, à l’occasion du Congrès “Astrology and the Academy”, qui se tint au Centre Universitaire de Bath-Spa, les 13 - 14 juin 2003, nous a permis de nous replonger dans ces éditions parisiennes, car la British Library en possède trois exemplaires de trois libraires différents. Or, si l’on examine le sort de la Centurie VI, on constate des similitudes avec celui de la Centurie IV : la présentation de la Centurie VI s’y interrompt après le quatrain LXXI (soit 71, car à l’époque on n’utilisait guère la forme IV pour le 4) et reprend avec la formule : Propheties de M. Nostradamus adioustees nouvellement Centurie septiesme (sic) reprenant avec le quatrain 72 non numéroté, suivi des quatrains suivants numérotés, toujours en chiffres romains. On ne peut qu’être frappé par le parallèle entre la situation de la Centurie IV et celle de la Centurie VI. Dans l’édition Pierre Ménier non datée, on a, en outre, interpolé trois quatrains numérotés LXXII, LXIIII, LXXIIII, ce qui fait que l’on a deux quatrains portant la même numérotation LXXIII et LXXIIII.

   Comment expliquer un tel procédé ? Il nous semble qu’il s’agisse de mettre en évidence un certain quatrain qui se trouve désormais en fin de section et attire ainsi davantage l’attention.

   C’est visiblement le cas du quatrain LXXI de la Centurie VI se terminant par le verset : “Par lions, d’aigles, croix, couronne vendue” et qui nous semble s’en prendre à Henri de Navarre et à ses alliés étrangers - la croix étant ici probablement perçue comme renvoyant aux Suisses alliés du prince protestant - auxquelles en quelque sorte la couronne de France aurait été vendue. De deux choses l’une : ou bien la Centurie VI n’avait initialement que 71 quatrains ou bien on l’a coupée à cet endroit. Nous pencherions désormais plutôt pour la seconde hypothèse et cela vaut aussi pour la Centurie IV dont le quatrain LIII.

   La raison de cette coupure serait donc purement exégétique, c’est-à-dire que le quatrain ou groupe de quatrains précédant ou suivant la coupure est ainsi souligné. On attirera l’attention sur le premier verset du quatrain LII de la Centurie quarte :

   “La cité obsesse aux murs hommes & femmes”

   Cela pourrait concerner le siège d’une ville : cité obsesse signifiant : ville assiégée (de obsidio, en latin, siège). Or dans les années 1588 - 89, les sièges ne manquèrent point, à commencer par Paris, tenu par les Guises.

   Autrement dit, rien ne prouve qu’initialement la centurie IV ait été à 53 quatrains ! Elle a pu dès le départ être à 100 quatrains, comme l’implique son nom de centurie. Le procédé assez cavalier, consistant au dépeçage des centuries serait propre aux années 1588 - 89. On le retrouve encore, appliqué à la Centurie VII, dans l’édition d’Anvers, chez F. de St Jaure - un exemplaire en est également conservé à Londres dans le fonds Harry Price de la Bibliothèque de l’Université - dont certains quatrains ont été évacués. Dès lors, comment douter que l’édition Macé Bonhomme à 53 quatrains à la IV puisse être antérieure à ces années là ? Cette édition qui s’arrête carrément au 53e quatrain et ne fournit pas la suite, a donc, selon toute probabilité, été un outil de propagande, lié à une atmosphère obsidionale. L’importance qui lui fut accordée par les nostradamologues et qui a fini par marquer les biographies de Michel de Nostredame est parfaitement démesurée.

   Ne convient-il pas d’admettre que ces Centuries incomplètes, que ce soit la IV, la VI ou la VII ont d’abord existé sous une forme normale à 100 quatrains ? Il a probablement existé une édition à 1000 quatrains, vers 1584, ce dont témoigne la Bibliothèque de Du Verdier12, laquelle mentionne une édition Benoist Rigaud de 1568 : “Dix Centuries de prophéties par Quatrains qui n'ont sens, rime ni langage qui vaille”.13 On conçoit en effet mieux une édition censurée, tronquée, voire trafiquée que d’entrée de jeu un ouvrage se présentant comme comportant des Centuries et que ces Centuries soient incomplètes. Quant à la mention de 39 articles, qui figure au titre de certaines éditions parues dans les années 1588 - 89, il faut probablement y voir une tentative ponctuelle de justification de centurie tronquée. Force est donc de constater que la Centurie VII comportait vraisemblablement à l’origine 100 quatrains, d’où probablement la tentative avortée de la compléter au moyen de 58 sixains ; cette tradition de centuries initialement incomplètes aura longtemps pesé sur les esprits.14 Espérons que désormais, ce sera de l’Histoire ancienne.

Jacques Halbronn
Paris, le 19 juin 2003

Bibliographie

       - J. Halbronn, “Les vaticinations perpétuelles. De l’agricole au politique (Th. J. Moult) ”, Site du Cura.free.fr.

       - J. Halbronn, Le texte prophétique en France, formation et fortune, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2002.

       - J. Halbronn, Documents inexploités sur le phénomène Nostradamus, Feyzin, Ed. Ramkat, 2002.

       - A. Volguine, Intr. Prophéties Perpétuelles de Thomas Joseph Moult, Paris, Ed. Des Cahiers Astrologiques, 1977.

       - R. Benazra, “Les premiers garants de la publication des Centuries de Nostradamus”, Encyclopaedia Hermetica, Site Ramkat.free.fr.

Notes

1 Dans son étude “Les premiers garants de la publication des Centuries de Nostradamus”, Site Nostredame.chez.tiscali.fr. Retour

2 Cf. J. Halbronn, Documents inexploités sur le phénomène Nostradamus, Feyzin, Ed. Ramkat, 2002, p. 129. Retour

3 Cf. R. Benazra, RCN, Paris, Trédaniel, pp. 90 et seq. Retour

4 Cf. notre étude sur le caractère et la carrière posthume etc, Site Nostredame.chez.tiscali.fr. Retour

5 Cf. BNF Res V 715. Retour

6 Cf. Ed Volguine, Prophéties perpétuelles de Th. J. Moult, Nice, Ed. Des Cahiers Astrologiques, 1977, p. 63. Retour

7 Cf. op. cit., pp. IX - X. Retour

8 Cf. notre étude “L’astronome et le pasteur (le Kalendrier et Compost des Bergers”, sur le Site du Cura.free.fr. Retour

9 Cf. notre étude “De l’astrologie à l’astro-histoire”, sur le Site Cura.free.fr. Retour

10 Cf. notre étude sur “les centuries comme commentaire des textes en prose”, Site Nostredame.chez.tiscali.fr. Retour

11 Cf. R. Benazra, RCN, Paris, Ed. Trédaniel, 1990, pp. 118 - 127. Retour

12 Voir le texte de Patrice Guinard, “Avertissement aux thèses de Jacques Halbronn”, sur le Site du CURA, in “La controverse Halbronn-Guinard et ceteri”. Retour

13 Voir p.881, ou p.912 de l'exemplaire numérisé de la Bibliothèque Nationale de France, au format PDF. Retour

14 Cf. notre série consacrée aux éditions supposées parues du vivant de Nostradamus, Site Nostredame.chez.tiscali.fr. Retour



 

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